Auteur Sujet: JI - III - L'ile oubliée  (Lu 1494 fois)

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Lyx

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JI - III - L'ile oubliée
« le: 22 novembre 2011 à 10:18 »
J'ai bien aimé la partie d'hier. On sent que les choses se mettent en place

Merci Luigi
L'informatique : c'est facile. C'est comme la plomberie, il suffit de poser les briques correctement. (Chef de projets "anonyme" ... et vaut mieux qu'il le reste)

Erendis

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JI - III - L'ile oubliée
« Réponse #1 le: 22 novembre 2011 à 12:17 »
vi, pareil ; moi, j'ai bien aimé parce qu'on leur en a foutu plein la tronche !!

est-ce qu'on pourrait continuer un chouïa sur le forum (2 semaines, c'est long !) Ca vous semble contre productif, si l'idée c'est de faire un peu de rp d'ambiance ?
Je ne peux vivre que si mes poumons sont remplis de trois airs : le Rire, le Risque et le Rêve...

Et quand jeux mots d'air...
C'est en vers :13:

luigi

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JI - III - L'ile oubliée
« Réponse #2 le: 22 novembre 2011 à 14:15 »
Vous pouvez discuter entre vous (RP ou non), vous pouvez discuter de ce que vous comptez faire ensuite. J'ai fourni quelques infos dans les mp de dimanche.
J'en fournirais d'autre a priori sous peu.
Attention, tout le monde ne passe pas au même rythme sur le forum.
L'urgent est fait, l'impossible est en cours, pour les miracles prévoir un délai.

luigi

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JI - III - L'ile oubliée
« Réponse #3 le: 23 novembre 2011 à 14:46 »
Alors que le calme revient sur l'île, Yarim tache d'allumer un feu pour aider Zarozinya à  réchauffer son fils. Moakatekuwi s'adresse alors à  ses "cousins" :
- Il ne faut pas laisser les cadavres joncher ce sol sacré. J'ai besoin de ces hommes (elles désigne les deux prisonniers valides) pour les transporter, et de certains d'entre vous pour les surveiller.


Sirion se propose pour aller chercher les cadavres.

Moakatekuwi : Tu es désormais trop tapu toi aussi pour toucher des cadavres. Ces hommes le feront.


Zarozinia reste auprès du feu, serrant son fils dans ses bras. Elle lui chante une contine de Goran en essayant de le réchauffer. Quand elle voit Moakatekuwi emmener avec elle les deux prisonniers, elle l'interpèle :
- Laisse l'homme blessé ici, je veux l'interroger et j'aimerai aussi parler à  ses compagnons quand tu aura terminer avec eux. Je veux comprendre ce qu'il s'est passé et pourquoi on nous pourchasse.
Dans la lueur du feu on pouvait voir dans son regard, un mélange de haine, de peur et de souffrance. Pourtant sa voix était calme et ferme.


Anahita regardait Zek avec une certaine crainte et le sentiment d'avoir à  nouveau échoué.
La voix calme et ferme de Zarozinia sortit Anahita de son expectative.
"J'aiderai à  les surveiller."


Gwallen était perdu dans ses pensées. Il jeta un coup d'oeil aux alentours. Puis dévisagea discrètement ses compagnons (enfin autant que l'on peut l'être lorsqu'on dévisage). Un par un il les observa songeur.

Quelques minutes plus tard, lorsque Moakatekuwi parla il ne bougea pas. Il resta plongé dans ses pensées.


Moakatekuwi se tourne vers les prisonniers et enduit ostensiblement une flèche du contenu d'une fiole de Zuya.
- Mes flèches sont plongées dans le sang de Zuya, lance-t-elle mauvaise. Faites ce que je vous dis et vous aurez une chance d'aller mourir ailleurs que sur cette île. Sirion, délie leur les jambes, s'il te plaît. Et vous (aux prisonniers), suivez-moi !


Gwallen l'observa avec un petit sourire mais ne bougea pas.
Puis il sortit une sorte de tube recouvert de cuir. Il manipula le tube quelques secondes. Le tube s'ouvrit. Gwallen en sorti un petit carnet (écrit en Kauli). Il attrapa une plume et se mit à  écrire, il ne s’intéressa plus à  rien d'autre pendant les longues minutes qu'il passa sur le carnet. Ensuite il remit le carnet dans le tube, non sans avoir tourné les pages de la 1ère à  la dernière.


Sirion s'arme aussi d'une arbalète et vise les deux malfrats.
Ces deux derniers obéissent sans résistance.


Nous les menons à  travers l'île et les faisons ramener tous les cadavres sur la plage (évidement, on leur délie les main aussi, mais seulement quand ça devient nécessaire) ; ensuite, à  l'aide de matériel présent sur les navires (seau, brosse...), ils nettoient au mieux le sang versé sur les rochers. Puis, elle ordonne aux captifs de déshabiller les prêtre de Zuya et de ranger soigneusement leurs affaires et fait mettre Zat un peu à  part.

Lorsque tout cela est fait, ils reviennent sur la plage et on les ligote de nouveau, près de leurs copains morts.

Moakatekuwi retourne à  ses affaires, en sort l'un des bâtons sculptés et y entortille une corde en y attachant des plumes rouges autour de la partie haute en récitant ce qui semblerait être une prière. Puis, elle se lève soudain en poussant des appels dans les quatre directions, tenant son bâton dans une main et son harpon dans l'autre.

"Ringa Pakia" ; "Uma Tiraha" ; "Turi whatia" ; "Hope whai ake"

Puis se plante d'un coup à  quelques mètres des prisonniers et des cadavres et les harangue de manière agressive : http://www.youtube.com/watch?v...feature=related
Waeuwae takahia kia kino
Ka mate ! Ka mate !
Ka ora ! Ka ora !
Tenei te tangata puhuruhuru
Nana nei i tiki mai, whakawhiti te ra
A hupane ! A kaupane !
A hupane ! A kaupane !
Whiti te ra !
Hi
Et ce faisant, elle plante son bâton de prière et son harpon dans le sol. Mais elle ne s'arrête pas là  pour autant et continue à  scander dans sa langue en manipulant un autre de ses bâtons qu'elle plante près du corps de Zaat. S'en suit une danse plus chthonienne où elle plonge ses mains dans le sable et se désintéresse des captifs encore vivants.

Elle achève son rituel en récupérant ses bâtons et en les désencordant lentement, toujours à  psalmodier. Elle range ces affaires avec respect et précaution dans leur sac, puis, après un regard un peu fatigué sur la plage et les occupations de chacun, elle part s'assoir sur des rochers à  l'écart, contempler l'océan.


Gwallen se lève et s'approche des affaires des prêtes de Zuya. Il s'accroupit et farfouille dedans.
Il trouve 3 dagues Züu et 3 fioles comme les autres.
Sur Zaat il trouve également une petite bourse en cuir contenant 10 po.
« Modifié: 30 novembre 2011 à 08:54 par luigi »
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luigi

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« Réponse #4 le: 30 novembre 2011 à 08:48 »
Ezekiel reprend peu à  peu des couleurs, et sa respiration se régularise. Zarozinia le laisse se reposer près du feu. Elle se lève, étire ses membres ankylosés, regarde son fils endormi puis s'approche d'Harold.
- J'emmène le prisoninier blessé, je veux l'interroger moi même. Je ne pense pas que le faire à  la vue de tous soit une bonne chose, je vais aller un peu plus loin.
Les traits tirés de son visage reflètent la fatigue de cette dernière journée, mais sa voix et son regard ne laisse aucun doute quand à  sa détermination.


Lorsque Moakatekuwi perçoit les mouvements de Zarozinia, elle l'intercepte :
- Cette île a déjà  trop été dérangée. Si tu ne veux pas rester sur la plage, va sur le bateau.

Son ton est plus à  la demande qu'à  l'ordre (pour précision).


- Mon fils a failli périr, je veux savoir pourquoi on nous pourchasse, répondit Zarozinia. Si je ne reste pas sur la plage c'est plus pour vous éviter le spectacle qui va suivre. J'aurai mes réponses par n'importe quel moyen, et je ne pense pas que souiller les bateaux avec le sang de misérables soit mieux.
Dans ses yeux brille la colère, et on peut entendre dans sa voix la détresse d'une mère qui a failli perdre son unique enfant. Elle reprend à  l"adresse de Moakatekuwi :
- Je ne connais rien aux religion ni au mysticisme, je ne sais pas ce que tu vois ou ressens quand tu entres en trance, mais ne me demandes pas de les épargner, pas après ce qu'ils ont essayé de faire. Il nous faut des réponses !


Moakatekuwi : Je comprends ta colère et ta peur. je ne te demande rien pour ces hommes, juste pour cette île. Leur sang ne doit pas souillé son sol, si on peut l'éviter. Leur bateau n'a rien de tapu. Donc, si, c'est mieux que tu ailles le questionner dans leur bateau.


Gwallen se lève et se dirige vers Zarozinia. Il pose la main sur son épaule.

Laisse-le, il ne t'apprendra rien. La vengeance ne t'apportera rien et surement pas du soulagement. Tu es la seule ici à  n'avoir rien perdu et tu veux te comporter comme n'importe quel barbare ? Ne fais pas ca s'il te plait. Crois-moi, le sang a bien assez coulé pour aujourd'hui et tu va réveiller ton fils.

Il tend lentement la main vers la joue de Zarozinia.
"Pourquoi, un visage si doux a-t-il un regard si dur ?"
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luigi

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« Réponse #5 le: 30 novembre 2011 à 08:48 »
Sirion s'approche de Moakatekuwi.
Il regarde la mer. Son regarde se dirige naturellement vers Berce, sa ville natale.

"J'ai dix milles questions à  te poser et tu n'as certainement pas de réponses à  m'apporter. Mais que fait-on maintenant et pourquoi êtes-vous pourchassés par les prêtres de Zuïa ?"


Moakatekuwi tourne la tête vers son ami en lui souriant.
- Si seulement nous le savions ! J'imagine que c'est lié à  notre ascendance. Nous devons avoir en nous des graines de connaissances ou d'actions qui ne demandent qu'à  germer, mais nous ignorons qu'elles existent. Mais Zuïa ou ceux qui paient ses prêtres doivent savoir, eux. et il faut croire que cela ne leur plaît pas. Cela dit, les graines n'ont pas besoin de conscience pour s'épanouir. L'eau, la terre, le soleil et l'esprit de Haumia suffisent. Et ils sont partout.


Sirion se retourne vers toi.
- Que va-t-on faire désormais ? Nous ne pouvons fuir indéfiniment. Avez-vous quelqu'un vers qui vous retournez ? Un héritier qui ne serait pas venu et qui serait en vie ?


Moakatekuwi, tourne son regard vers la côte loitaine et invisible.
- Nous allons chercher à  comprendre : non pas fuir, mais aller de l'avant... en surveillant nos arrières. On ne pas vraiment compter sur d'éventuels survivants tant l'efficacité des prêtres a été prouvée. Mais si on en croise, tant mieux. Notre première idée était d'en savoir plus sur ces symboles. je pense donc qu'on va se diriger vers l'Arkarie

Elle se retourne vers Sirion :
- Et toi ? que veux-tu faire ? Tu dis "nous", est-ce pour me signifier que tu souhaites nous accompagner ? J'en serai ravie, et je pense que ce serait le bon choix. Tu es des nôtres, désormais.


Sirion : Je pense en effet vous suivre si ma présence ne gène personne. Je m'arrêterais peut être en chemin.

Il s'arrête un peu et se lève.
Sirion : Je vais vérifier les bateaux et les vivres.


Moakatekuwi : Nos navires ont peut-être été saboter en effet.
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Maweth

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« Réponse #6 le: 30 novembre 2011 à 14:30 »
Zarozinia tourne la tête vers Gwallen, lui arrêta la main avant que celle ci ne touche son visage et un éclair froid passe dans ses yeux.

 - Rien perdu, dis tu ! J'ai autant souffert que vous et si j'ai réussi à  sauver mon fils, ce n'est pas pour laisser des assassins me le prendre !

Elle avait presque crié en disant ces mots, et l'on pouvait voir une profonde tristesse dans son regard. Elle inspira profondément, afin de reprendre contenance.

 - Excuse moi Gwallen, je n'aurais pas du te parler sur ce ton. Sache que même si j'ai sauvé mon fils dans cette bataille, cela ne veut pas dire que je ne connais pas la douleur de perdre des êtres chers.

Le ton de sa voix est redevenu calme. Elle continue :

 - Je viens de Goran, un pays perpétuellement en guerre contre les barbares, mais la guerre c'est simple on connait nos ennemis et l'on sait contre qui l'on se bat. Je ne resterai pas les bras croisés à  attendre qu'ON vienne nous tuer. De plus cette homme (elle désigne le prisonnier blessé), va mourir de la gangrène si on le laisse dans cet état. Mieux vaut qu'il meurt, plutôt que de voir sa jambe pourrir. Je ne te demande pas de cautionner, ni même d'accepter mais quelqu'un va devoir se salir les mains !

Elle lève la tête et toise Gwallen. Son visage n’arbore aucune expression si ce n'est que du défi.
« Modifié: 30 novembre 2011 à 14:54 par luigi »

Erendis

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« Réponse #7 le: 30 novembre 2011 à 14:42 »
- Une blessure, cela se soigne. La gangrène n'est pas une fatalité.
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Maweth

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« Réponse #8 le: 30 novembre 2011 à 16:32 »
- Soignerais tu une personne qui t'a attaqué ? Si eux t'avais blessé, penses tu qu'ils t'auraient soigné ? Comprend moi bien, je ne cherche pas à  me comparer à  eux, mais ce sont leurs méthodes qui nous obligent à  de telles extrémités. On ne peut pas les laisser vivre sachant qu'ils nous savent que nous avons survécu, et les prendre avec nous serait trop contraignant. Que proposez vous alors ?

luigi

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« Réponse #9 le: 30 novembre 2011 à 17:08 »
Vos prisonniers semblent de plus en plus terrorisés.
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Maweth

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« Réponse #10 le: 30 novembre 2011 à 17:17 »
(S'ils sont terrorisés c'est qu'ils entendent ce que l'on dit. Aucun ne tente de marchander sa vie ?)

Lyx

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« Réponse #11 le: 30 novembre 2011 à 18:40 »
Gwallen laisse Zorazinia "passer" sa "fureur"


Je dis juste que ça ne sert à  rien. Ils ne savent rien. Et puis, au choix je préfère que tu me mette une bonne "taloche" plutôt que tu t'acharne sur eux mais bon c'est toi qui vois.

En ce qui concerne ton fils, il y a peut-être une solution mais on en reparlera au calme
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Ludovic

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« Réponse #12 le: 30 novembre 2011 à 19:18 »
Je reviens un peu en arrière pour mon personnage. ^^

Citer
Après que les prisonniers soient de nouveau ligotés, et avant que Moakatekuwi ne fasse son rituel, Anahita examine le corps de Zaat afin de comprendre ce qui a bien pu lui arriver (si besoin, on fera les jets de dés lundi).

Durant le rituel, Anahita semble comme fascinée (elle en oublie sa douleur au bras) par les invectives que lance Moakatekuwi aux prisonniers ainsi qu'aux corps sans vie étendus sur le sable.

Une fois la prière terminée et la tension redescendue, vous voyez Anahita s'éloigner avec de quoi nettoyer et panser une plaie, la main droite crispée sur son avant bras gauche et le visage contracté par une douleur qui venait de reparaître plus vive.

De retour avec un bandage propre et le bras en écharpe, elle se met à  examiner les affaires prélevées sur les prêtres de Zuïa abattus (elle n'a pas encore eu l'occasion de le faire ou alors uniquement de loin et dans l'agitation).

luigi

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« Réponse #13 le: 30 novembre 2011 à 19:45 »
Citation de: Maweth,t=1322669829,id=81295
(S'ils sont terrorisés c'est qu'ils entendent ce que l'on dit. Aucun ne tente de marchander sa vie ?)

Non ils ne marchandent pas
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« Réponse #14 le: 30 novembre 2011 à 20:08 »
Citation de: Ludovic,t=1322677130,id=81305
Je reviens un peu en arrière pour mon personnage. ^^

Citer
elle se met à  examiner les affaires prélevées sur les prêtres de Zuïa abattus (elle n'a pas encore eu l'occasion de le faire ou alors uniquement de loin et dans l'agitation).


Tu viens les prendre dans les affaires ? Car je suis déja passé. Elles sont posées sur mon sac, donc visibles et non cachées
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Erendis

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« Réponse #15 le: 30 novembre 2011 à 20:44 »
Citation de: Maweth,t=1322667153,id=81289
- Soignerais tu une personne qui t'a attaqué ? Si eux t'avais blessé, penses tu qu'ils t'auraient soigné ? Comprend moi bien, je ne cherche pas à  me comparer à  eux, mais ce sont leurs méthodes qui nous obligent à  de telles extrémités. On ne peut pas les laisser vivre sachant qu'ils nous savent que nous avons survécu, et les prendre avec nous serait trop contraignant. Que proposez vous alors ?


(je pense que les prisonniers n'entendent que les éclats de voix car on ne parle pas de ça directement devant eux !)

- Tout comme le dit Gwallen, ce ne sont que des hommes de mains. Ils ont eu la malchance d'accepter un mauvais contrat. Ce ne sont pas des saints, et si je n'ai aucune haine envers eux, je n'ai pas plus de pitié. Il y a eu combat et nous avons gagné. La sagesse de mon peuple me dis : "A quoi bon jeter un homme à  terre si c'est pour le laisser se relever". Qui touche à  un guori ne doit pas avoir la possibilité de le refaire. Mais je l'avoue, je ne suis pas une guerrière et je n'ai jamais tué... volontairement. Mais je suis Tohunga et s'il y a une chose que je sais, c'est que cette île est extrêmement tapu et qu'ils ne sont pas dignes d'y mourir.
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« Réponse #16 le: 01 décembre 2011 à 08:46 »
Citation de: Erendis,t=1322682265,id=81312


(je pense que les prisonniers n'entendent que les éclats de voix car on ne parle pas de ça directement devant eux !)

En effet, mais ça leur fout bien les jetons de vous voir discuter/vous disputer, d'entendre des éclats de voix par sympa et des regards qui leur sont lancer je pense régulièrement (réaction normal quand on parle du destin de quelqu'un)
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Maweth

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« Réponse #17 le: 01 décembre 2011 à 10:10 »
- Je désapprouve le fait de laisser des personnes pouvant nous reconnaitre derrière nous. Maintenant, je me plierai à  la décision de la majorité. Peut être que finalement ils pourront aller voir les prètres de Zuïa et leur annoncer notre mort...

Erendis

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« Réponse #18 le: 01 décembre 2011 à 12:00 »
- Des hommes de leur trempe n'abuseront pas des prêtres de Zuïa. les envoyé à  eux, c'est leur donner des informations sur nous : combien et qui nous sommes.
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« Réponse #19 le: 01 décembre 2011 à 12:51 »
- alors les prêtres de Zuïa viendront les chercher pour leur soutirer ces informations. Le problème est le même : si on les relache c'est prendre le risque que les prêtres de Zuïa en apprennent plus sur nous. Aujourd'hui notre atout est que ces prêtres ne savent pas combien nous sommes, où nous allons et ce que nous allons faire. Je pense que relacher les prisonniers c'est courir le risque que Zuïa mette la main sur eux et en apprenne plus sur nous.

Lyx

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« Réponse #20 le: 01 décembre 2011 à 14:05 »
Bof, je pense qu'ils savent déjà . Les prêtres avaient les listes détaillées y compris moi qui n'étais jamais allé aux rassemblements et qui vivait avec ma mère qui n'avait pas de lien de parenté avec les héritiers. Sans parler de Zuïa elle-même.

Mon avis est qu'il faut les relâcher quand on arrivera à  Terre et que d’ailleurs ils n'ont pas intérêt à  la ramener car Zuïa pourrait leur faire payer leur échec sans discussion. Nous n'avons pas intérêt à  être poursuit pour meurtre.

Pour moi soit nous partons au plus vite soit nous "enquêtons" sur la mort de Zaat et je penche plus tôt pour quitter JI et laisser au repos les "forces" qui s'agitent ici. Nous reviendrons plus tard
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« Réponse #21 le: 01 décembre 2011 à 15:12 »
- "Enquêter  sur la mort de Zaat" ? Les choses sont pourtant claires. Il a profané un sol tapu, il est mort. C'est la punition des Dieux qui l'a frappée. Rien que de très naturel. Et si tu me demandes pourquoi nous avons du tuer l'autre prêtre, je te répondrai que nous avons été l'instrument de l'île. Pour Zaat, la situation nous échappait.
Après, concernant ces hommes, les listes qu'ils ont (au fait, y'a une liste sur les prêtres cette fois aussi ?)donnaient tous ceux qui étaient des héritiers. Ils pourraient ne pas savoir combien il en reste et surtout qui c'est. Le moins d'informations ils ont sur nous, meilleures seront nos chances de survie. La situation me dépasse, alors je suivrais la voix de mes ancêtres. Si c'est la loi de ce pays que tu crains, rien ne nous ioblige à  les tuer sur leur sol. la mer saura les accueillir tout aussi froidement. Et c'est même la meilleure solution selon moi.
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« Réponse #22 le: 01 décembre 2011 à 16:42 »
Citation de: Erendis,t=1322748756,id=81383
(au fait, y'a une liste sur les prêtres cette fois aussi ?)

Non, pas de liste sur les prêtres rouges
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« Réponse #23 le: 02 décembre 2011 à 07:46 »
Gwallen fait un pas de recul. Regarde alternativement Zarozinia et Moakatekuwi.

Il énonce un phrase en Kauli. Ca a la tonalité d'une sentence. Puis il ajoute :

Je ne veux simplement pas participer à  ca. (Il montre les prisonnier et retourne s'assoir)

Qui connait le Kauli ?
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