Auteur Sujet: Dans la légende, ils furent nommés...  (Lu 7249 fois)

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Galaad

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Dans la légende, ils furent nommés...
« le: 12 septembre 2019 à 20:02 »
Ce post vous permettra de présenter votre personnage, sa famille et son blason.
Je suis merveilleuse à  voir plus à  connaître car nul ne me peut empoigner, pour grande que fut sa main, hormis celui à  qui je suis destinée. Que nul ne soit si hardi que de me tirer du fourreau s’il ne sait mieux frapper et plus hardiment que tout autre,ou bien il mourra

Lindar

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Re : Dans la légende, ils furent nommés...
« Réponse #1 le: 19 septembre 2019 à 15:41 »
(PAS FINI)

Nom: Hrothgar
Pays: Iles orientales
Culture: Irlandaise
Religion: Païenne

Description physique:

Description morale:

Histoire:
Né à Meath en 510, Hrothgar est fils d'un petit seigneur. Il est l’aîné de ses frères et sœurs. Dôté d'un physique imposant depuis son jeune âge, il se tourna très vite vers la chevalerie et les combats à la lance. Sa famille est très connue pour écrire de belles balades, que ce soit la musique ou les paroles mais Hrothgar ne s'y interessait pas beaucoup, étant plus doué dans le domaine des armes que celui de la composition artistique. Ce qui l'intéressait par-dessus tout c'était la frénésie du combat et les tournois. Toute l'effervescence qu'il y avait lors d'un tournoi l'excitait et essayait d'aller à chaque tournoi qu'il pouvait voir en compagnie de son père.
Son père comprit vite que l’intérêt de son fils ne se trouvait pas dans les mots mais sur un cheval et à jouter dans les tournois. Le regard émerveillé de Hrothgar en disait long quand à son admiration à voir tous ses chevaliers se battre avec adresse, force, courage et honneur. Il rêvait d'en faire partie. C'est pourquoi son père, pour ses 15 ans le fit écuyer d'un chevalier de sa propre demeure pour qu'il puisse le former à la joute et au rudiments des tournois.
Conseil de joueur: Dans le doute, tuez tout le monde.

Elsa

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Re : Dans la légende, ils furent nommés...
« Réponse #2 le: 19 septembre 2019 à 18:14 »
(Incomplet)

Nom: Uran
Pays: Cornouaille
Culture: Kymrique
Religion: Païenne
Devise:  « De ta peur tu puiseras tes forces »

Originaire de Lyonesse, Uran est le fils ainé d’un petit seigneur. Aussi surprenant que cela puisse paraitre Uran n’a que des soeurs, elles sont au nombre de 4 toutes plus jeune que Uran.
Il est le descendant d’une lignée de chevalier, et espère depuis sa tendre enfance suivre les pas de son père, qui comme son père avant lui, à participé à de nombreuses batailles malheureusement tout deux son mort au combat à croire qu’il s’agit d’une tradition familiale.
Bien que sa famille soit réputée comme étant de très bon nageur, Uran à une méfiance envers les créature de la mer et préfère restés à Terre.
L’intérêt qu’Uran porte à la chevalerie lui a été transmis par son père au travers de ses nombreux récits de campagne, il était tout ébahi a l’idée qu’un jour peut être il serait un de ses chevalier valeureux et dont l’honneur, la force ainsi que leurs charmes inspirent toute une génération de jeune gens. Ainsi Uran appris avec ferveur le maniement des armes dont l’épée, ainsi que l’art oratoire par le biais de son père avant que ce dernier ne meurt.
Cette éloquence, ainsi que le physique assez plaisant d’Uran font qu'il ne laisse personne indiffèrent.

Assielle

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Re : Dans la légende, ils furent nommés...
« Réponse #3 le: 20 septembre 2019 à 00:34 »
Nom : Artbert
Surnom : Art (Arty pour les intimes, mais seulement en privé ! Respect !)
Pays : Logre
Culture : Saxone
Religion : Wotanne

Description physique :
Artbert est une force de la nature. Grand et particulièrement fort, il a tendance à marquer les esprits. De visage plutôt banal, il possède cependant un petit quelque chose dans le regard qui donne envie d'apprendre à le connaître.
Les yeux marrons, les cheveux noirs et broussailleux, il porte fièrement une courte barbe ainsi qu'une moustache taillée avec un certain raffinement. Si plusieurs cicatrices parcourt son corps, il est toujours fier de les montrer en racontant l'anecdote qui l'accompagne.


Description morale :
Artbert peut paraître rustre et parfois il fait tout pour en donner l'impression, mais au fond il a un vrai cœur tendre qui peut le trahir dans les pires moments. S'il est fort, il n'est cependant pas dénué d'intelligence. En effet, le jeune homme est particulièrement doué pour les finances et pour la stratégie militaire.
Épris de justice et d'aventures, il est aussi valeureux, bon vivant, impulsif et généreux.
Artbert est un leader naturel auprès des guerriers. Excellent orateur, il aime encourager les hommes pendant les batailles. Prendre la tête d'une armée ne lui fait pas peur, c'est même ce qui fait sa plus grande force.

Histoire :
Né dans le Kent en 510, Artbert, fils du seigneur Conrad, n'a jamais eu le plaisir de connaître son chevalier de père, décédé trop tôt sur le champ de bataille. Sa mère Liana, anéantie par la perte de son jeune époux, mit deux ans avant d'accepter un remariage avantageux avec le frère cadet de son propre défunt époux. Ainsi, l'oncle d'Artbert, Edwin, devint son nouveau père alors qu'il allait sur ses trois ans.

Deux ans plus tard, sa mère donna naissance à un petit frère, Caelwin. Les deux garçons s'entendaient bien, même si Artbert adorait s'entraîner à la chevalerie en utilisant son frère comme adversaire. Sa propre force physique n'aidant pas, leurs chahuts se terminaient très souvent par des larmes... Artbert ne le disait jamais, mais il se reprochait toujours de faire du mal à son petit frère. Ce qui le poussa à apprendre à contrôler sa force.

Après Caelwin vinrent une petite soeur, Gwendoline, et un autre petit frère, Wilfred. Si Gwendoline était plutôt délaissée par la fratrie, les frères s'entendaient plutôt bien.

Lorsqu'il eut neuf ans, Artbert dut pleurer la mort de sa mère, morte en couche avec leur deuxième petite sœur. La douleur le rendit morose pendant de longs mois et il se renforça pour le bien de ses petits frères et sœurs. Il était l'aîné et un fils de chevalier !

Après la mort de Liana, Edwin se mit à inviter plus de femmes de la bonne société, de préférence des veuves qui venaient avec leurs enfants. Artbert le soupçonnait de chercher à se remarier mais, même si voir son oncle remplacer sa femme aussi vite le scandalisait, il ne pouvait rien y faire.

Il rencontra plusieurs enfants de son âge et, tout compte fait, il ne trouva pas ces visites si désagréables ni dénuées d'intérêt. Il y avait Wulfrid, un garçon qui aspirait à devenir un grand chevalier comme lui et qui devint rapidement un compagnon de jeux, mais aussi Grégor, un peu plus porté sur l'intellect que sur le combat. Il y avait aussi quelques filles, comme Sophia ou Elise. Diana attira particulièrement son attention. Elle était différente car, contrairement aux petites filles qui essayaient de jouer à la poupée ou à la princesse avec Gwendoline, elle essayait de jouer aux chevaliers avec les garçons.
Evidemment, ce n'était même pas envisageable pour le trio de frères ! Cette première rencontre se solda par beaucoup de rancœur et de colère d'un côté comme de l'autre, car la jeune Diana ne se laissait pas faire. En y réfléchissant, Artbert dut reconnaître qu'elle forçait le respect. Même si ce n'était pas un travail de fille que de guerroyer !

Il la revit à l'aube de ses quinze ans. Curieusement, leurs chamailleries d'enfants leurs faisaient de bons souvenirs à échanger. Le jeune fille s'était féminisée mais, malheureusement, elle ne parlait plus que de broderies et de musiques. Artbert la trouva finalement moins intéressante que dans leur jeune enfance. Même si elle était devenue bien jolie...

Jusqu'à ses quinze ans, Artbert apprit à manier les armes et à gérer son domaine. Il apprit également à manier les mots avec aplomb, comme tout homme de sa famille. son oncle se montrait bienveillant mais sévère envers lui, il ne lui pardonnait pas le moindre écart de conduite.

"Tu es le seul fils de Conrad, tu te dois de lui faire honneur comme il a fait honneur à son père !"


Artbert adorait les histoires que son oncle lui racontait de son père. Il se jura qu'un jour il se montrerait à la hauteur. Devenir écuyer fut pour lui le plus beau jour de sa vie. Il savait que devenir chevalier dépasserait de loin tous les bonheurs qu'il pouvait espérer.  Ce fut la tête pleine de rêves qu'il embrassa son destin.
~~~
Si tu ne crois pas en tes rêves, qui y croira pour toi ?

Gwendoline

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Re : Dans la légende, ils furent nommés...
« Réponse #4 le: 22 septembre 2019 à 21:12 »
Nom : Beren
Région : Pays du Nord, Escoce
Culture : Picte, clan du Corbeau / Lugi
Religion : Aniniste

 Pictes d'Escoce, la famille de Beren ne connut jamais la richesse, ni la gloire. Bien que jouissant d'une petite reconnaissance locale et d'un bon capital sympathie, son clan dû toujours travailler la terre pour survivre et subvenir aux besoins minimum indus par leur statut. Capables dans le combat, leurs moyens limités les empêchaient de se distinguer en la matière et leur renommée fut plutôt faite en tant que bon compagnons de tablée, habiles au jeu et avec assez d'esprit pour savoir quand il était de bon ton de perdre.
 Le grand-père de Beren, bien que fervent soutien de son seigneur lors des campagnes opposant les pictes à leurs ennemis, était mort dans une quasi-indifférence en 507. Aussi, son fils Kenneg nourrit une grande ambition et la volonté de surpasser son père. Peu présent sur ses terres, il était plus volontiers sur les champs de bataille ou sur les routes, cherchant l'aventure qui glorifierait son nom et son clan. Néanmoins, ces temps d'aventure prirent fin en 5013. Revenant bien avant la saison d' hivernage, Kenneg portait un air sombre et les stigmates d'une aventure difficile. Presque mutique, il remit à sa femme une grande lance en lui disant qu'elle avait reçu la bénédiction divine et lui demanda de la donner à leur fils aîné lorsqu'il serait en âge de la manier. Il annonça ensuite qu'il allait embrasser la religion chrétienne et rejoindre un ordre monastique. Refusant de s'expliquer, il s'en fut à pied sans rien emporter avec lui. Se trouvant seule avec deux enfants de 3 et 1 ans, Seri dut faire appel à sa famille pour l'aider à gérer le domaine. C'est ainsi qu'un de ses jeunes frères, sa mère et une de ses soeurs vint s'installer avec elle.
 C'est dans ce contexte avec Beren grandit. La famille de sa mère était de pure tradition picte, bien éloignée des façons de faire du royaume de Logres, et l'abreuva de mythes et légendes de la région, de récits sur les Faës et autres créatures. Manifestant un intérêt bien plus grand que le juste divertissement enfantin, le jeune garçon apprit à déchiffrer et dessiner les runes et glyphes. Il n'hésitait pas non plus à interroger les chevaliers errants et voyageurs pour apprendre davantage d'histoires, peu importe la région d'où elles provenaient. Bien entendu, son entraînement martial ne fut pas oublié et il s'entraînait quotidiennement au maniement de l'épée et de la lance longue avec son oncle et son frère cadet, Cirig. Le travail manuel acheva de lui tailler un physique tout en force et en adresse. Quand il atteignit 15 ans, son seigneur lui annonça qu'il serait envoyé auprès d'un chevalier du Sud comme convenu dans les termes de leur reddition pour s'être opposé au roi Arthur des années plus tôt.  Beren accueillit la nouvelle sans grand entrain, en effet, son oncle étant décédé l'année précédente lors d'une bataille, sa famille rencontrait une période difficile où ses seuls protecteurs n'étaient que des parents récemment adoubés. Néanmoins, et n'ayant pas voix au chapitre en la matière, il décida de faire bonne figure et se mit en route pour rejoindre sire Artcois.
« Modifié: 30 septembre 2019 à 15:53 par Gwendoline »

Lizianna

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Re : Dans la légende, ils furent nommés...
« Réponse #5 le: 24 février 2020 à 18:09 »
Bon... le proverbe dit "Mieux vaut tard que jamais"  ;)


Nom : Adwen
Pays d’origine : Cumbrie
Culture : Kymrique
Religion : Chrétien

Description :
Adwen est un jeune homme au physique assez banal. Il n’est pas très grand, possède des traits communs, des cheveux bruns et des yeux bleus. Pas très loquace, il peut s’avérer étonnamment bavard si commence à lui parler d’équitation, mais se trouve assez maladroit en présence de la gente féminine.

Histoire :
Né en Cumbrie en 510, Adwen est le fils aîné du Seigneur Morial et de sa femme Nia, une famille chrétienne assez pieuse. Il a deux frères, Gwir son cadet de 1 an (né en 511) et Elffin son cadet de 3 ans (né en 513) ainsi qu’une jeune sœur, leur benjamine de 7 ans (née en 517), nommée Eleri.

Il a peu connu son père, mort héroïquement lors de la bataille de Badon en 518 alors qu’il n’avait que 8 ans mais il n’a pas eu une enfance malheureuse. Très jeune, il a développé une grande passion pour les chevaux au détriment de ses leçons de savoir-vivre, ce qui en a fait une personne assez maladroite pour s’exprimer en société mais à l’aise dès lors qu’il est question d’équitation, de chasse et même de fauconnerie.

Il s’entend bien avec ses deux frères, même si Gwir est le plus sociable des trois et que Elffin se montre plus manuel et sait faire milles choses de ses mains. À eux trois, ils parcouraient le moindre recoin du domaine pour vivre de folles histoires de chevaliers.
Il adore sa sœur Eleri qu’il chérit par-dessus tout et qu’il veut protéger. Elle est et restera toujours à ses yeux cette petite fille adorable qui le suivait partout et qui se cachait dans les écuries en rigolant pour éviter certaines leçons trop ennuyantes à ses yeux ; ce qui a tendance à rappeler le comportement d’Adwen quand lui-même esquivait certaines heures d’apprentissage, au grand dam de leur mère.

À ses 15 ans, en 525, il devient l’écuyer de Sire Dereck. Ce chevalier chrétien, très croyant et convaincu qu’il fallait purifier les âmes corrompues par le sang, était un bon combattant porté par sa foi et son amour des batailles. Sous sa houlette et au fil des années à parcourir la Grande-Bretagne, Adwen développa l’art de l’épée et des premiers soins au gré des aventures qu’ils rencontraient. Ce fut également pendant ses années qu’il se lia d’amitié avec cinq autres écuyers qui servaient les compagnons de Sire Dereck.



Blason
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« Modifié: 24 février 2020 à 18:21 par Lizianna »
“Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.” Périclès